Nos peuples, nos origines : les Spartiates !

On trouve des traces des Spartiates dans l’Iliade où ils faisaient partie de l’armée grecque. Ils servaient dans l’infanterie, équipé d’un bouclier rond en bronze, d’épées courtes et de lances. Au début du Ve siècle avant JC, ils étaient les maîtres incontestés du Sud de la Grèce.

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Structure sociale

Les spartiates se divisaient en 3 catégories

les Citoyens : qui possédaient la terre reçue en échange de leurs services militaires

les Non-citoyens libres : commerçants, artisans et marins

les Hilotes : esclaves, propriété de l’Etat

Les Spartes étaient un peuple guerrier. Chaque garçon était voué à devenir un soldat.C’était un sacrifice héroïque fait pour sa Nation. Leur devise : Il vaut mieux être mort que de vivre vaincu !!

Sparte était un état-cité fermé dirigés par les citoyens et non-citoyens libres qui devaient toujours garder un œil sur les Ilotes qui étaient les esclaves ramenés de leurs différentes guerres. Leur armée formait un corps homogène de soldats entraînés. Ils se voulaient la race supérieure élue.

Tous avaient le même entraînement militaire car pour eux, ils étaient tous égaux et cette armée fonctionnait grâce à une discipline absolue.

Afin d’éviter de fragiliser la race, chaque nouveau-né subissait un examen approfondi.  Si il était handicapé, trop chétif ou pas de race pure, il était simplement tué. Les enfants étaient mis directement face aux dangers avant la puberté.  Pour appartenir à la communauté, ils devaient faire leurs preuves.

A 7 ans, les garçons étaient enlevés aux parents, éduqués pour devenir militaire. Ils subissaient des épreuves physiques extrêmes. Ils restaient militaire au minimum jusque l’âge de 20 ans mais pouvaient le rester jusque leur mort.

Pour les filles, une éducation traditionnelle et des activités physiques étaient préconisées car elles devaient être parfaites pour assurer une descendance forte.

Les Spartiates vivait dans l’austérité, se privaient de beaucoup de biens matériels et comme ils n’avaient pas de biens importants, ils étaient égaux, pas de jalousies donc une fraternité et une confiance entre eux pour le bien de la communauté.

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La bataille des Termopyles

Les Perses qui possédaient une grande partie de l’Afrique décidèrent d’envahir la Grèce afin de pouvoir conquérir l’Europe et devenir le plus grand empire du monde.

Ils étaient commandé par Xerses qui dirigeait une armée de milliers de soldats venant de toutes les provinces de l’empire perse (plus de 50 nationalités différentes).

Afin de repousser les Perses, les Spartes, commandés par Léonidas, s’allie avec Athènes. Les Perses commencèrent leur invasion par le Nord où ils ne rencontrèrent par beaucoup de résistances, leur nombre suffisant à faire capituler toutes les provinces. Léonidas conçu alors un plan : il allait arrêter les Perses au défilé des Termopyles.  Les Grecs contiendraient les Perses sur la mer.

Il prit 300 guerriers.  Les Athéniens crurent qu’il prenait une avant-garde mais Léonidas ne pouvait se permettre de prendre tous ses guerriers.  En effet, les Hilotes étaient nombreux et sans gardes, ils risquaient de prendre le contrôle de Sparte.  Il dût donc prendre une décision : couper ses troupes en 2 afin de préserver ses terres et de combatrre.

Xerces habitué aux succès faciles, rencontre une première fois les Spartes dans le défilé. Malgré le nombre impressionnant de ses troupes, elles doivent se replier face à la détermination des Spartes.

Mais les Spartes sont trahis par des traitres qui préviennent Xerces qu’il existe un passage qui l’amènerait derrière les troupes de Léonidas.Ceux-ci vont être pris en étau.

Léonidas se rend compte qu’ils vont perdre cette bataille mais il est impensable pour les Spartes de se rendre : ils acceptèrent donc une ultime bataille qu’ils savent perdue d’avance mais voulant tuer un maximum de Perses…. Il ne restera aucun survivant.

Encouragé par l’attitude héroïque des Spartiates, les Athéniens se replient et reforment une armée qui finira par repousser les Perses.

Leur sacrifice n’aura pas été vain.

Nous pouvons donc convenir que ce peuple mythique représente toute la valeur humaine et guerrière qui permet la survie d’un peuple, la valeur d’une armée …

Les Spartiates n’étaient pas un peuple, ce n’était pas une armée, c’était UNE UNITE, UN TOUT, UNE PUISSANCE ….. UNE NATION !!!

Jeune Nation est d’humeur printanière !

Dans un article précédent, Jeune Nation s’était déclaré solidaire de ce qu’on appelle déjà un « printemps français », à savoir les manifestations quasi quotidiennes débutées pour protester contre le « mariage gay » mais qui se sont transformées en une véritable démarche anti-socialiste et anti-Hollande.

Et certains de nos militants avaient déjà marqué leur solidarité en se déplaçant à Paris. Où ils ne passèrent d’ailleurs pas inaperçus comme on a pu le voir dans un récent reportage de M6.

Ce 26 mai, une délégation namuroise de Jeune Nation s’est rendue dans la capitale française pour pouvoir dire solidairement avec des centaines de milliers de gens : non a la dictature socialiste ! Dictature larvée mais bien réelle qui règne d’ailleurs aussi dans notre pays !

Autre fait que nos camarades présents sur place ont pu remarquer, c’est que les Français commencent  à comprendre qu’ils sont de plus en plus minoritaires sur leur propre sol,  de plus en plus livrés a eux-mêmes, qu’ils aimeraient que le gouvernement leur crée du boulot plutôt que de s’occuper du mariage homo.

Nos camarades ont également pu constater que meme des parents ou grands parents soutenaient cette révolte de la jeunesse française !

Nos camarades furent également solidaires face à la répression policière !

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Nos peuples, nos origines : les Vikings.

1La définition du mot « viking » est commerçant de longue date. Il va sans dire qu’avec les années, la conjoncture a amené à ajouter à la définition : voleur et pillard.

Les pays scandinaves d’où viennent les Vikings étaient pauvres : sous-sol sans ressources, un climat redoutable. Leurs seules richesses étaient la pêche et la forêt. Donc, pour survivre, ils devaient faire du commerce avec les pays limitrophes. Vu leur géographie, le seul moyen rentable était la mer.

Les Vikings devinrent pillards par la force des choses, car ils comprirent très vite qu’un bon coup d’épée à double tranchant ou un bon coup de hache résolvait beaucoup plus et plus vite, les tractations commerciales. Les Vikings n’étaient pas assez nombreux ou assez armés pour des batailles de longue haleine et les sièges longs et coûteux. Ils se « spécialisèrent » dans les incursions et le pillage.

Il ne faut toutefois pas oublier que leur but premier était le commerce ; quelques villes où ils eurent un comptoir commercial permanent ou temporaire existent encore : Dorestad = Amsterdam, Londonwich = Londres, Koenrgaror = Kiev.

L’équipement des Vikings se composait d’un casque conique (sans cornes, ni ailes, ni pointes comme souvent représenté au cinéma et dans la littérature), une hache de fer, une longue lance, un bouclier rond en bois et une armure faite de cottes de mailles.

Contrairement aux idées véhiculées par le cinéma et la littérature, le Viking n’aspirait qu’à faire du commerce pour mieux vivre et se sédentariser.

L’implantation du christianisme et ses suites (abandon des rites païens, interdiction de l’esclavage principale ressource de leurs voyages) sonnèrent le glas du Viking. Les différentes grandes régions se scindèrent, prirent des Rois et formèrent les actuels pays scandinaves (Suède, Danemark, Norvège, etc).

Bravoure et férocité

Le dogme d’Odin est un dogme du soldat. Il ennoblissait la force physique, il idéalisait le courage. Il faisait de l’audace une vertu, de la faiblesse un crime. Etre jeune, courageux, ardent, s’élancer sur les terres étrangères, c’était là l’idéal de la vie des Vikings.

Le mythe viking

Au physique, il représente la force, la jeunesse, la santé, le prestige du muscle.
Au mental : l’énergie débordante, l’intelligence et la ruse, l’audace, l’instinct de domination.
Au moral : l’ivresse d’indépendance et de liberté, le sentiment chatouilleux de l’honneur qui rend sacrée la vengeance.
Au plan religieux : une tension violente, un étrange compromis entre les grandes forces liturgiques et l’univers des Dieux.

Partout et toujours, la force, celle qui prime le droit comme celle qui le fonde ! “Ceux qui vivent sont ceux qui luttent”

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Les dieux vikings

  • Odin = dieu souverain ; dieu de la guerre et de la poésie, il est le créateur de l’humanité et le père de la majorité des Dieux
  • Thor = dieu du tonnerre, guerrier brutal, il est le pire ennemi des géants qu’il tue avec son fameux marteau Mjöllnir
  • Loki = dieu fripon ; malin et burlesque, il est la cause de beaucoup de malheurs chez les Dieux, notamment la mort de Baldr
  • Baldr = dieu de la beauté et de la jeunesse, aimé de tous, tué par une ruse de Loki
  • Freyr = dieu de la vie et de la fécondité
  • Freyja = déesse de l’amour qui accueille la moitié des guerriers morts au combat – l’autre moitié est accueillie par Odin dans sa Valhöll
  • Tyr = dieu des serments et du droit et anciennement dieu du ciel
  • Njörd = dieu principal des Vanes, il est le dieu de l’abondance, du vent et de la mer
  • Hel = déesse des enfers, elle règne sur le Helheim et sur Niflheim
  • Les 3 Normes = femmes qui tissent la toile du destin (Wyrd) de tous, y compris celle des Dieux
  • Les Valkyries = vierges guerrières chargées d’emmener les guerriers morts au combat au Valhalla, la halle d’Odin
  • Le Vahlhalla = lieu où les valeureux guerriers défunts sont amenés ; c’est le paradis viking au sein même du royaume des Dieux. C’est sur les champs de batailles que les Valyries choisissent et emmènent les hommes les plus braves et les plus valeureux afin de les ramener à Asgard, où Odin les attend pour les préparer à la bataille finale, le Ragnarök.

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Les Vikings au cinéma

  • Le guerrier silencieux, Valhall Rising de Nicolas Winding Refn – 2010
  • Le 13e guerrier de John Mac Tiernan – 1999
  • La légende de Beowulf de Robert Zemeckis – 2007
  • Les Vikings de Richard Fleischer – 1958
  • Les Drakkars de Jack Cardiff – 1964

Les Vikings dans la littérature

  • Orm le rouge de Frans Gunnar
  • Thorgal (bande dessinée) de Yves Sente
  • Le dernier royaume de Bernard Cornwell
  • Le chant de l’épée de Bernard Cornwell
  • Vikings de Patrick Weber

Il va de soi que je n’ai fait qu’effleurer le thème consacré aux Vikings qui exigerait plusieurs livres si on voulait être complet. Mais pour ceux qui ne connaissent pas ou peu les Vikings, j’espère vous avoir fait découvrir un peuple valeureux, guerrier et fier de ses origines, un peuple digne !!

Annik Vanderbaeten