jEUNE nATION TRES ACTIF EN REGION LIEGEOISE !

Les jeunes de NATION sont très actifs en région liégeoise.

Par exemple, en rendant hommage aux victimes des attentats islamistes du 22 mars 2016 de Bruxelles, par le dépôt de fleurs en mémoire de Aline Bastin, jeune Liégeoise assassinée par les crapules terroristes.

Egalement par une vaste présence sur le terrain en Basse-Meuse via collages et tractages.

Et enfin, en exprimant leur profond mépris pour les syndicats, plus que jamais flics du patronat et avocats de l’immigration.

Les héros sont immortelS ! c’est pourquoi, nous nous souvenons toujours de mikis mantakas !

Mikis Mantakas était un jeune nationaliste grec qui était venu suivre des études de médecine à Rome dans les années 70. Très vite, il va rejoindre le grand parti nationaliste de l’époque : le Mouvement Social Italien (MSI) et il y sera particulièrement actif dans sa branche étudiante, le Front d’Universitaire d’Action Nationale.

Voici 48 ans, le 28 février 1975, à un moment de grande tension entre l’extrême-gauche et les nationalistes italiens, un commando gauchiste casqué, armé de barres de fer et de bouteilles incendiaires s’attaque au local du MSI situé à la Via Ottaviano, à 2 pas du Vatican.

Les militants nationalistes repoussent les agresseurs et les poursuivent sur la place voisine. A ce moment, un des extrémistes de gauche se met à tirer et touche le jeune Mikis qui était en première ligne. Il va être soigné sur place mais décédera quelques heures plus tard à l’hôpital.

L’auteur de cet assassinat deviendra plus tard, un membre de l’organisation terroriste « Brigades Rouges ». Et l’arme du meurtre servira aussi pour tuer un des gardes du corps du politicien italien Aldo Moro qui sera enlevé puis exécuté par le groupe terroriste.

Mikis Mantakas, ce jeune grec venu mourir en Italie pour une certaine conception de l’Europe, est devenu un symbole européen de sacrifice et d’engagement. C’est pourquoi, tous les ans depuis sa mort, une commémoration a lieu à l’endroit où il est tombé.

NATION a régulièrement envoyé une délégation à la commémoration annuelle de sa mort !

Commémoration à Rome en 2020,
avec une délégation de NATION…

les serviteurs du systeme qu’ils pretendent combatte !

Ceci est l’autocollant et le slogan d’une extrême-gauche qui se la joue révolutionnaire mais ne mène aucune action contre le système capitaliste qu’elle prétend combattre.

Une fois par an, le 1er mai, les flics leur laissent casser quelques vitres mais en contrepartie les manifestations syndicales de masse deviennent particulièrement paisibles.

Ils servent aussi le Système comme « petits soldats » contre le nationalisme.

Bref, ils sont devenus à leur « camp politique » ce que les populistes sont à droite : bien utiles aux forces qui nous gouvernent. Lire une analyse plus précise sur les stratégies mondialistes ICI !

SOUVENIR DE COMBATTANTS EUROPEENS!

Lors de la guerre civile espagnole entre 1936 et 1939, des nationalistes de toute l’Europe sont venus soutenir les nationalistes espagnols en lutte contre le communisme.

Et le 13 janvier 1937, à Majadahonda en banlieue de Madrid, des volontaires roumains Io Moța et Vasiliu Marin (membres de l’organisation roumaine « Garde de Fer » dirigée par Corneliu Codreanu) tombaient en combattant sous les balles communistes.

Lors de leurs funérailles en Roumanie, le cortège funèbre parcourt le pays avant l’enterrement. Des centaines de milliers de personnes participent aux commémorations dans de nombreuses villes célébrant des oraisons funèbres pour les deux martyrs dans plusieurs cathédrales.

A Bucarest, des milliers de jeunes légionnaires vêtus de leurs chemises vertes défilent dans les rues de la ville. Moța et Marin sont donc enterrés, à côté du quartier général du mouvement, la «Maison Verte», dans un mausolée spécialement construit, décision prise par Codreanu afin d’inspirer les futurs légionnaires.

L’impression laissée par leur sacrifice et les manifestations d’hommage ont donné au Parti de la Garde de Fer une aura considérable en Roumanie. De janvier 1937 à la fin de l’année, le nombre de membres de la Légion passe de 96 000 à 272 000. Et aux aux élections générales roumaines de 1937, Totul Pentru Țară devient le troisième parti en Roumanie avec un score particulièrement élevé (15,58%).

Sur le lieu de leur martyre, à Majadahonda, un monument commémoratif a été élevé en septembre 1970, où se tient chaque année une cérémonie nationaliste roumano-espagnole pour le souvenir du sacrifice des deux envoyés de la Garde de Fer tombés dans la croisade contre le bolchevisme.