Suite au précédent article paru sur la mort de Nelson Mandela, un camarade à voulu davantage développer sur le génocide des blanc blancs en Afrique du Sud.
« S’il y a une leçon à tirer de l’évolution de l’Afrique du Sud, c’est qu’une société qui a l’idée absurde de s’adonner au multiculturalisme, est vouée à voir les géniteurs blancs de cette patrie périr victimes d’un véritable génocide. L’affirmation est-elle trop forte? Absolument pas, et voici pourquoi…
Le Contexte Historique
L’Afrique du Sud, autrefois fondée par des colons blancs, a laissé d’autres groupes ethniques, -certes pour certains (mais pas tous) déjà présents à l’origine, prendre le contrôle de la société. Avec le résultat qu’aujourd’hui les Blancs sont devenus des citoyens de seconde zone, dans le pays qu’ils avaient autrefois bâti. Ceci est le moment clef où tout chavire dans une société qui se veut multiculturelle, le moment ou le peuple fondateur se retrouve minoritaire et dominé par des groupes qui lui sont hostiles.
Mais comment parler de l’Afrique du Sud sans parler de la Rhodésie (actuel Zimbabwe)? En effet, si l’Afrique du Sud parachève doucement son périple vers l’enfer multiculturel, la Rhodésie, elle, est déjà arrivée à la destination finale : viols incalculables, expropriation (confiscation) des terres agricoles, et génocide contre les fermiers blancs.
Et quoi de plus naturel pour tout groupe démographique, que de promouvoir son propre intérêt racial? Particulièrement si cet intérêt racial est mis en exergue par des leaders communistes, dont un bel exemple a été incarné par Robert Mugabe, Marxiste–Léniniste autoproclamé, et qui devint président du Zimbabwe en 1980.
Cependant, dès l’an 2000, et sous couvert de l’égalité « Démocratique », Mugabe commença une campagne de destitution des fermiers blancs. Campagne qui aboutira finalement au pur et simple massacre des blancs dans son pays, clamant haut et fort ; « Le seul homme blanc en qui vous puissiez avoir confiance est un homme blanc mort. »
Le problème, c’est qu’une fois que Mugabe eut finit de chasser un grand nombre de blancs qui, par leurs installations agricoles nourrissaient le pays, celui-ci se vit tomber dans un effondrement économique.

L’Afrique du Sud et l’hypocrisie gauchiste
Dans le cas de l’Afrique du Sud, c’est l’ANC de Mandela qui, sous couvert d’abattre l’apartheid en prônant la « réconciliation raciale », a en réalité préparé le terrain pour la future destitution et génocide des fermiers blancs (Boers).
Mandela qui fut présenté à nos enfants comme un symbole de grandeur démocratique, un « héros luttant contre l’oppression » par nos médias gauchistes. Le même Mandela qui chantait sans honte ; « Mort au Bhulu. » (blancs) Oui vraiment, cet homme méritait bien un prix Nobel de la paix. (sarcasme)

Mais derrière Mandela se trouvait le communiste, Joe Slovo, leader et théoricien du parti Communiste sud-africain. Il n’y a donc rien d’étonnant à voir les méthodes communistes de confiscation de terres et de massacre, être perpétré contre les blancs en Afrique, lorsque la doctrine d’indépendance des non-blancs se base sur le Marxisme-Léninisme?
Ces abus grandissants contre les blancs seraient soi-disant « justifiés » par le fait que les noirs disent avoir été victime de la ségrégation raciale et que ce ne serait qu’un juste retour des choses qu’ils rendent la pareille à leurs supposés bourreaux blancs.
La réalité toutefois est totalement différente ! Les premiers peuples d’Afrique du Sud sont les San et les Khoi, des peuplades noires natives d’Afrique du Sud, relativement pacifiques. Les noirs qui aujourd’hui en appellent au meurtre font en réalité partie des peuples Bantu, ayant déjà envahi une bonne partie de l’Afrique, chassant les San et les Khoi et qui n’ont jamais cessé de massacrer pour arriver à ses fins. Les victimes actuelles des Bantu? Rien d’autre que des fermiers blancs demandant juste le droit de vivre en paix, et nourrir la nation Sud-Africaine. Leur crime? Être blanc.
Aujourd’hui, la violence anti-blanche prônée par l’ANC est passée à la vitesse supérieure. L’Etat sud-africain ferme les yeux sur une série de viols, de tortures et de meurtres croissants contre les blancs, en prétendant que ces crimes ne « sortiraient pas de l’ordinaire ».

Notons que Julius Malema, ancien membre de l’ANC, ayant désormais fondé son propre parti politique (l’EFF) qui est maintenant le 3eme parti du pays, incite ouvertement au génocide contre les blancs. Pourtant, pas un mot dans les medias gauchistes à la solde du multiculturalisme. Il est évident que les institutions voulant nous pousser au vivre-ensemble n’ont pas le bien-être des peuples d’origine européenne à cœur.
L’organisation Africa Check, montre une hausse inquiétante du nombre d’attaques et de meurtres contre les fermiers blancs, d’année en année.
Conclusion
Nous devons tirer les leçons de l’Afrique du Sud afin de nous éveiller sur la réalité d’une société s’enivrant d’utopies « antiracistes », afin d’éviter que ces mensonges ne provoquent notre déclin. Il nous faut comprendre que les peuples de ce monde sont instinctivement différents et que la cohabitation mène au conflit.
À Jeune Nation, nous sommes particulièrement sensibles envers la situation des blancs en Afrique du Sud. D’abord car nous dénonçons un génocide mais aussi car nous voulons que vous sachiez que l’Afrique du sud est un miroir de ce qu’il risque de nous arriver en Europe dans les prochaines décennies. Sachez que ce n’est pas pour rien que la propagande du système vous pousse à avoir de l’admiration pour Mandela et vous force à adopté des valeurs « de tolérance et du vivre-ensemble ». Sachez que c’est comme ça que cela a commencé en Afrique du Sud. Avec le résultat qu’on connaît aujourd’hui…