Récemment, un concert de style musical « Black Metal », prévu en région liégeoise, avait été annulé car la salle où il devait se tenir avait décidé de ne plus accueillir cet événement.
La raison était une campagne de pression par l’extrême-gauche qui reprochait aux groupes devant s’y produire d’être liés à « l’extrême-droite ». Crime suprême dans cette nouvelle dictature gauchiste.
Cette interdiction a été assez mal accueillie par le public de ce genre de concerts et sur les réseaux sociaux ou il y eût de nombreux commentaires dénonçant cette censure. Et Jeune Nation s’est joint à cette critique et a, de plus, accordé une interview à un autre groupe de ce style musical : « Alienation ».
Ce qui a provoqué une nouvelle réaction, un peu hystérique, de ces gauchistes qui ont publié un gros gros article où ils se sont sentis obligés de beaucoup parlé de NATION, de Jeune Nation, etc…
Quelque part, cet article est en fait une bonne chose puisque les gauchistes ont ainsi reconnus que seuls les nationalistes défendaient vraiment la liberté !
Le moins que l’on puisse dire est que nos autocollants « Fuck Antifa » et « Fuck Daesh » auront un peu marqué les esprits. Ceux de nombre de sympathisants nationalistes qui, grâce à ces autocollants, auront (re)découvert NATION et se sont (re)mis à les coller.
Mais manifestement aussi les sionistes qui ont créé un autocollant « Fuck Hamas » tel celui qui est sur la photo ci-dessous, prise dans le centre de Bruxelles. Néanmoins, les militants sionistes n’apprécient manifestement plus trop le Bruxelles multiculturel (qu’ils ont pourtant tellement défendu à une époque) vu que leurs autocollants y sont très peu présents.
Plus surprenant encore, c’est que certains antifa (manifestement avec un QI politique assez limité) trouvent que « Fuck Daesh », ce n’est pas si mal comme slogan et se contentent de recouvrir la partie de notre autocollant (où est le logo de Jeune Nation), voir ci-dessous.
Antifa, voleurs de slogans On a quand même repris le copyright 😉
Manifestement, ils ne savent toujours pas que si DAESH a tué tant de gens dans les rues de Bruxelles, de Paris et d’ailleurs en Europe, c’est car les tueurs étaient ici via une immigration (que les antifa défendent) massive et illégale !
Mais bon, même si nos adversaires reconnaissent eux-mêmes qu’on a une bonne « communication », c’est une sorte de compliment !
Mikis Mantakas était un jeune nationaliste grec qui était venu suivre des études de médecine à Rome dans les années 70.
Très vite, il va rejoindre le grand parti nationaliste de l’époque : le Mouvement Social Italien (MSI) et il y sera particulièrement actif dans sa branche étudiante, le Front d’Universitaire d’Action Nationale.
Voici 49 ans, le 28 février 1975, à un moment de grande tension entre l’extrême-gauche et les nationalistes italiens, un commando gauchiste casqué, armé de barres de fer et de bouteilles incendiaires s’attaque au local du MSI situé à la Via Ottaviano, à 2 pas du Vatican.
Les militants nationalistes repousseront les agresseurs et les poursuivent sur la place voisine. A ce moment, un des extrémistes de gauche se met à tirer et touche le jeune Mikis qui était en première ligne. Il va être soigné sur place mais décédera quelques heures plus tard à l’hôpital.
L’auteur de cet assassinat deviendra plus tard, un membre de l’organisation terroriste « Brigades Rouges ». Et l’arme du meurtre servira aussi pour tuer un des gardes du corps du politicien italien Aldo Moro qui sera enlevé puis exécuté par le groupe terroriste.
Mikis Mantakas, ce jeune grec venu mourir en Italie pour une certaine conception de l’Europe, est devenu un symbole européen de sacrifice et d’engagement. C’est pourquoi, tous les ans depuis sa mort, une commémoration a lieu à l’endroit où il est tombé.
NATION a régulièrement envoyé une délégation à la commémoration annuelle de sa mort !
Profitons-en pour avoir une pensée pour les camarades actuellement emprisonnés partout en Europe !
La politique se mène aussi par le combat culturel. C’est dans ce cadre que Jeune Nation a réalisé des interviews avec des groupes musicaux d’essence nationaliste
Bonjour camarade, ravi de nous entretenir avec toi pour cette deuxième interview d’artistes « identitaires ».
La précédente mettait en lumière le célèbre groupe français « Kontingent », et est disponible sur notre canal Telegram (cliquez ICI) pour ceux que cela intéresse. Bien que d’autres groupes soient prévus, étant donné que nous nous connaissons et compte tenu de la récente formation de ton groupe Aliénation, nous avons jugé opportun de conduire cette entrevue maintenant.
Tout d’abord, pourquoi avoir choisi le nom « Aliénation » ?
Bonjour, merci pour l’invitation. En ce qui concerne « Aliénation », c’est un terme courant et facile à retenir. La notion d’aliénation est généralement comprise en philosophie comme la dépossession de l’individu, c’est-à-dire la perte de sa maîtrise, de ses forces propres au profit d’un autre. Nous avons trouvé ce concept percutant, original et cohérent avec ce que l’on veut faire, mais aussi parfaitement en phase avec l’époque d’aujourd’hui.
Pouvez-vous nous parler de votre style musical et nous expliquer la genèse du groupe ?
Nous faisons du black metal, plutôt primitif. Originaire de Wallonie, (Province de Liège) le groupe est composé de deux membres (Crapule : textes, voix et Re/Mort : guitares, basse, batterie) et existe officiellement depuis fin 2023.
Pourriez-vous nous en dire davantage et décrire votre démo de manière générale ?
La démo contient cinq titres. Certains morceaux abordent des thèmes « plus classiques » du black metal comme la solitude, la tristesse, la nostalgie, les regrets… et d’autres sont un peu plus philosophiques, identitaires et politiques. Nous sommes attachés à ce concept, à cette fusion. D’un côté sombre et dépressif, de l’autre identitaire et radical. C’est cela, la formule Aliénation !
Un morceau a particulièrement retenu notre attention, « Trident Triomphateur ». À plusieurs moments, on peut distinguer des passages audio qui font plus ou moins référence à NATION, pouvez-vous nous en dire plus ?
Effectivement, nous sommes passés, comme d’autres (nous saluons entre autres nos camarades des Eburons), par NATION. Les aléas de la vie font que nous avons pris des distances avec le militantisme politique, mais nous gardons bien entendu une grande sympathie pour ce mouvement. D’ailleurs, dans ce morceau, on peut m’entendre à la fin, lors d’une petite et sympathique action avec quelques anciens camarades de ma région. On y entend aussi vers le milieu, le passage d’un magistral discours de Hervé Van Laethem (que nous saluons également au passage) et qui a accepté qu’on utilise cet extrait dans ce morceau. Pour l’intro, pas de commentaire ici lol.
Avez-vous d’autres projets prévus à court ou moyen terme ?
Oui, à moins qu’un de nous ne se suicide dans les Fagnes, une démo 2 verra probablement le jour dans quelques mois.
Des concerts sont-ils prévus dans votre agenda ?
Non.
Comment peut-on se procurer votre démo ?
Via le label Acid Vicious. La démo est à 5€ + frais de port, uniquement en format cassette.
Pourquoi avoir choisi le format cassette audio ?
Les CDs, c’est très bien, mais ce n’est pas prévu pour nous. Aliénation n’existera qu’en format cassette.
Quelles sont vos principales influences, notamment musicales ?
Notre terre, notre sol, notre sang, nos racines, notre histoire, la nature, nos légendes… Concernant les influences musicales, je n’en citerai qu’une : Maeströ Cröque Mört.
Avez-vous un dernier mot à dire aux jeunes de notre mouvement ?
Vous représentez la jeunesse authentique, enracinée, fière et libre. Votre responsabilité envers l’avenir est immense ! Dans vos veines coule le même sang que celui de vos glorieux ancêtres. Ne baissez jamais les bras ! Croyez-y et battez-vous car demain nous appartient ! Notre heure viendra ! Haut les cœurs, en avant la victoire, maîtres chez nous ! Maîtres chez nous !
Jeune NATION 