Liège zone identitaire ? C’est désormais officiel !

Afin qu’on ne puisse dire qu’on essaie d’adoucir la pilule d’une éventuelle déception électorale ; nous profitons de ce moment d’avant résultats électoraux pour parler d’un phénomène qui, quel que soit le résultat de ce dimanche, aura marqué cette année de campagne électorale (si on compte aussi les élections locales passées).

Nous voulons parler de la mise en échec de la mouvance dite « antifasciste » liégeoise. Mouvance qui se la jouait, à tort, dans le registre « Liège zone antifa » et qui a commis l’erreur d’essayer d’y jouer avec NATION !

Résultat, NATION s’est implanté dans tout Liège. Y compris dans le quartier Saint Léonard, souvent présenté comme un bastion de l’extrême-gauche.

NATION visible dans toute la région liégeoise !

De plus, la stratégie des « antifa » a été un total échec ! Leurs actes de violence (allant jusqu’au jet d’une bouteille incendiaire) ou de vandalisme ont été un échec et ont parfois tourné à la confusion de leurs auteurs (comme la raclée reçue par les antifa lors d’une tentative d’attaque contre un local ami). Ils ont également donné une grande visibilité à NATION comme lors des incidents liés à la venue programmée de Theo Francken à Verviers. Et même le regroupement des divers groupuscules dans un nouveau « Front Antifasciste », contrôlé par la FGTB et le PS, n’y a rien changé. Pire encore, ils se sont ridiculisés en appelant à empêcher NATION de distribuer des tracts lors du marché de la Batte et en étant totalement invisibles lorsque cela s’est produit.

Promenade de santé des militants de NATION pour aller distribuer des tracts sur le marché de la Batte

 

Ce qui démontre bien que la force de la gauche ne réside bien souvent que dans la faiblesse de leurs adversaires.

Quoi qu’il en soit, et sans parler des résultats électoraux, on peut dorénavant parler de Liège, aussi comme une zone identitaire !

 

 

Retour sur l’affaire Nick Conrad

Suite à son clip « pendez les Blancs » dans lequel il appelait ouvertement à un assassinat méthodique et raciste envers notre communauté, Nick Conrad n’a été condamné qu’à 5000 euros d’amende alors que les militants patriotes qui ont pour seul objet de défendre leur pays reçoivent des condamnations bien plus sévères. Un scandale. Visiblement cette première condamnation ne lui a pas servi de leçon puisque l’intéressé vient de sortir un nouveau clip raciste, présentant des paroles très hostiles à l’égard de la France et dans lequel on le voit étrangler une femme blanche.

Nous avons fait un tour sa page Facebook et nous nous sommes rendus compte que le clip en question était toujours disponible. Or, lorsque nous avons sorti notre clip pour la campagne du Mouvement NATION, la censure nous a immédiatement frappés et notre production a disparu après seulement trois jours ; ce contraste soulève des questions légitimes et remet totalement en question la modération du réseau social. Il semble que venant d’un subsaharien mal dans sa peau, l’appel au meurtre ne soit pas un problème outre mesure pour la bande de Zuckerberg…

L’on peut se poser la question de l’origine d’un tel acharnement contre la France et tout porte à croire que l’énergumène soit bien obligé de provoquer, de choquer, dans l’unique but de faire parler de lui – sans doute pour compenser une absence de talent artistique ? Un rôle de mâle alpha qu’il interprète très mal car contrairement aux autres rappeurs issus de l’Anti-France, Nick Conrad n’est pas une racaille de cité mais… le fils d’un diplomate africain. Voilà qui peut expliquer les énormes moyens qu’il déploie dans ses clips vidéos et pourquoi Nick Conrad ne craint pas vraiment les condamnations.

Comble de l’ironie : ce personnage a beau jouer les suprémacistes noirs, pourtant papa a fait sa fortune en collaborant avec des multinationales qui pillent son continent chéri. Voilà qui est vraiment Nick Conrad : un fils de bourge en manque de sensations. Espérons qu’à l’avenir il tombera nez à nez avec un Blanc qui pourra lui donner les sensations qu’il recherche.

Dany

La Marche des Fiertés

Ce 18 mai fut l’occasion pour les représentants de la communauté LGBTAZW++ de déambuler dans les rues de Bruxelles au cours de ce qu’ils nomment eux-même la « marche des fiertés ». A cette occasion, nous rappelons que l’impudeur n’est pas une fierté et que, quoi que l’on pense de l’homosexualité, il est très choquant pour un enfant de voir des hordes de pédérastes habillés en danseuses sous cuir et latex.

Chez NATION, nous respectons la vie privée de chacun et estimons que chaque individu est libre d’avoir la sexualité qui lui convient. En revanche, ce que nous déplorons et condamnons, ce sont les revendications incessantes de minorités sortant de la norme ; pire, leur tentative de normaliser et répandre leurs pratiques dans la sphère publique en imposant leur présence aux yeux de tous. La sexualité relève de la sphère privée et les penchants sexuels de chacun devraient rester bien gardés plutôt que d’être exhibés. Cette « marche des fiertés » constitue une revendication communautaire ne représentant qu’une minorité d’homosexuels et ceux qui s’y affichent sont des activistes, des militants d’une cause – le progressisme – qui sans régulation ne mènerait qu’à l’effondrement de notre civilisation.

La double critique que nous pouvons émettre à l’égard de cette coterie LGBT est la suivante : la réduction à la sexualité, c’est-à-dire la soustraction du sujet à la multiplicité des influences qui caractérisent l’être humain afin de ne conserver qu’un rapport phallique à l’autre nous semble être une aberration et une négation de la pulsion de vie. Une obsession, dirait la psychologie, couplée à un désir totalitaire d’imposer au reste de la société ses déviances en réclamant des droits farfelus tels que le mariage ou l’adoption, faisant fi du bien-être des enfants. Que ces gens agissent comme bon leur semble dans la sphère privée ne pose aucun problème, mais ces revendications mènent à une banalisation de l’homosexualité, comme s’il s’agissait d’une norme, d’un choix de la part de l’individu, d’une construction sociale. Nous retrouvons dans ce lobby LGBT la logorrhée de l’école de Francfort et du marxisme culturel.

Chez NATION, nous défendons le modèle de la famille traditionnelle constitué d’un père, d’une mère et de leurs enfants. C’est ce modèle de société qui a fait ses preuves, c’est ce modèle qui caractérise notre civilisation, celui-là qui promeut ce que Schopenhauer appelle la Volonté, la force vitale d’un Peuple, et le transformer sous l’impulsion de quelques activistes au nom de la tolérance, de la morale, de l’ouverture et du progrès nous semble être une grave erreur pour notre avenir, pour nos enfants. L’homosexualité, peut-être, mais en tant qu’exception et non en tant que règle.

Ce 18 mai, nous étions donc présents à Bruxelles, mais aux côtés de nos camarades Hongrois afin de manifester contre la politique migratoire de l’Union Européenne, dans la dignité, dans la fierté, la vraie.

Jeune Nation rend hommage à sainte Jeanne d’Arc

Ce dimanche 12 mai 2019 une délégation de Jeune Nation était présente au défilé Jeanne d’Arc organisé par la Dissidence Française à Paris. Certains se poseront la question du pourquoi de notre présence à cet événement ; Jeanne d’Arc n’est évidemment pas une figure identitaire propre à la Belgique mais force est de constater qu’elle incarne l’archétype de la Femme telle que nous l’admirons ; une féminité guerrière et combattante, une sainte catholique pieuse et dévouée à une cause supérieure pour laquelle elle donna sa vie – bien loin du modèle de la Marianne tant vanté par la République.

Le dimanche matin, NATION marcha dans les rues aux côtés de ses camarades de la Dissidence Française (Vincent Vauclin), du Parti Nationaliste Français (Yvan Benedetti), de l’ANR (Action Nationale et Radicale) ainsi que de l’Action Française. Pendant plus d’une heure les citoyens de Paris entendirent nos slogans, le bruit de nos pas et de nos chants d’une seule voix jusqu’à l’arrivée devant la statue de sainte Jeanne d’Arc, au pied de laquelle nous nous tûmes pour laisser place aux discours des représentants des mouvements. A cet égard, notre secrétaire général Olivier Frapchot prononça une excellente allocution que nous vous invitons à écouter ici :

Quelques heures plus tard, nous défilâmes aux côtés de Civitas et de l’Action Française à travers la capitale, depuis la place Saint-Augustin où eut lieu une messe en plein air jusqu’à la place des pyramides, au rythme de chants catholiques. NATION se fit particulièrement remarquer grâce à son calicot  ; fait encourageant : de nombreux passants nous prirent en photo et nous montrèrent leur soutien ! Notons également la présence de deux militantes féministes qui tentèrent de perturber le cortège à coup d’obscénités avant d’être ramenées sur le droit chemin de la piété par les militants. S’en suivirent les discours de l’abbé Beauvais ainsi que d’Alain Escada, président de Civitas, qui clôturèrent le défilé Jeanne d’Arc 2019.

Un aperçu complet de cette journée militante est disponible ici :

Le défilé Jeanne, au-delà de l’aspect historique et religieux du personnage, est un lieu de rendez-vous de tous les patriotes d’Europe ; c’est une occasion idéale de se communautariser et tisser des liens fraternels avec d’autres organisations et des camarades d’autres horizons. N’oublions pas que les problématiques auxquelles nous sommes confrontés concernent aujourd’hui l’entièreté de l’Europe et du monde occidental, alors à l’avenir, serrons-nous les coudes ! Europe, Unie !