Ni libéraux, ni clowns !

Lors du dernier Congrès, il est apparu clairement que NATION voulait renouer avec certains fondamentaux et maintenir un cap éloigné des chimères populistes qui amènent tôt ou tard à être une sorte de droite du MR. Et c’est très bien ainsi.

Mais ce n’est pas une raison pour tomber dans l’autre piège qui menace la mouvance nationaliste, celui de tomber dans la provocation outrancière, passéiste et disons-le souvent ridicule.

Nous encourageons donc certains à faire un peu leur examen de conscience et ils verront peut-être que la radicalité ne consiste pas à s’enthousiasmer sur des images historiques ni à prendre des noms « à deux balles ». Peut-être comprendront-ils que s’ils veulent être en osmose avec une certaine conception du monde, ils devraient apprendre la discipline, avoir la volonté de s’auto-former par la lecture, d’essayer de garder une bonne forme physique, d’arriver à se lever tôt pour mener une action même un lendemain de guindaille, et entre autres de par leur esthétisme de donner une image positive des idées qu’ils prétendent défendre…Ah oui, militer aussi au lieu de refaire le monde en virtuel, ça pourrait être bien…

Plus que jamais, NATION et Jeune Nation doivent aussi être une Troisième Voie entre les tenants du populisme et ceux de Bouglione !

Communiqué de Jeune Nation à l’approche du Congrès

À l’approche du quatorzième Congrès du Mouvement NATION, Jeune Nation tenait à exprimer son point de vue sur l’évolution en devenir du Mouvement.

Nous estimons nécessaire que NATION préserve un ADN profondément identitaire, social et conservateur sur les questions éthiques. Bien qu’ouvert à tous, c’est à ceux qui rejoignent notre mouvement qu’il incombe de s’adapter en se conformant à notre ligne politique, et non l’inverse.

L’arrivée de personnes venant d’autres horizons telle une droite plus classique a indéniablement enrichi le mouvement par l’apport de nouvelles visions du monde et de nouvelles idées au cours de débats et discussions internes. Toutefois, ce processus ─ même s’il a lieu avec de bonnes intentions ─ ne doit pas entraîner un changement de nature de notre Mouvement.

Dès le lendemain du Congrès, Jeune Nation travaillera d’arrache-pied pour que NATION assume sa ligne historique ; une ligne certes moderne et adaptée aux enjeux de 2021, mais de nature identitaire, sociale et radicale qui, nous en sommes certains, rejoint les aspirations de la majorité des membres.

Aujourd’hui une poignée, demain une armée

Contacte-nous ! jn@nation.be

Liberté pour Esteban et Samuel !

Il ne fallait pas s’attendre à une quelconque clémence de la part d’une justice gangrenée par le marxisme.

Le 4 juin dernier, les tribunaux français ont confirmé les condamnations de Esteban Morillo et de Samuel Dufour à respectivement huit et cinq ans de prison, leur peine étant renforcée du fait de leur engagement politique dans le camp nationaliste.

Pourtant la politique n’a joué aucun rôle dans la mort de Méric. Rappel des faits : le 5 juin 2013, Clément Méric et sa petite horde d’antifas surexcités tendent un guet-apens à une bande de crânes rasés venus acheter du Fred Perry dans la capitale.

Méric était là pour agresser, pour blesser, pour casser du gaulois réfractaire. Lui et sa bande ont attendu les nationalistes, alors enfermés dans un magasin, pendant pas moins de quarante minutes au pied de l’établissement.

Esteban et Samuel se sont défendus lorsqu’ils furent pris d’assaut par les jeunes communistes assoiffés de sang. Un seul coup de poing et un manque de chance ─ car la tête de Méric retombera sur un poteau ─ suffiront à mettre Méric hors d’état de nuire… pas de bol, il ne survivra pas au choc.

Dans un pays normal, Esteban et Samuel seraient immédiatement relâchés, car leur geste relève d’abord de la légitime défense face à une horde de racailles qui a guetté les environs pendant près d’une heure pour saisir l’opportunité d’agresser des gamins venus acheter des vêtements.

La justice retiendra que Esteban a fait usage d’un poing américain, ce qui n’est pas confirmé par les experts légistes. Elle retiendra également que l’acte d’Esteban était motivé par la haine, alors qu’il s’agit d’un gamin qui a réagi à une agression préméditée.

Peu importe la vérité ; ce qui compte, c’est le récit, la narration, l’imaginaire qui se dégage de l’affaire. Un skinhead qui abat de sang froid un pauvre jeune garçon de gauche rempli d’amour et de tendresse… l’affaire était trop belle, Valls devait absolument s’en emparer pour dissoudre les JNR.

Aujourd’hui, l’affaire est toujours mentionnée pour évoquer la dangerosité et la menace imminente d’une extrême-droite en pleine expansion… récupération politique, quand tu nous tiens.

Aujourd’hui, Esteban et Samuel restent toujours dans les geôles de la République française car les juges communistes en ont décidé ainsi.

Aujourd’hui, nous réitérons notre soutien à ces jeunes hommes qui ont réagi à une agression aux motifs politiques et qui a conduit à un drame humain comme il en arrive tous les jours. N’oubliez pas que si les rôles avaient été inversés, vous n’auriez jamais entendu parler de cette histoire.

Camp Hobbit 2021

Suite au succès scintillant de l’édition 2020 du Camp Hobbit organisé par Jeune NATION (cliquez ici) nous remettons le couvert cette année et vous proposons un nouveau camp de formation et de cohésion début août ; trois jours dans la campagne profonde entre frères et soeurs de sang et d’esprit ! Inscrivez-vous dès maintenant : secretariat@nation.be

Pour rappel : tous les membres du mouvement de 7 à 77 ans sont les bienvenus !